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Couverture du roman "Dix chocolats" de Karine DERAEDT

Ce roman traite principalement de la maltraitance et du chemin thérapeutique qui permet de s'en libérer.

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Voici un texte fort, sans concession, qui plonge le lecteur dans un étonnant voyage temporel introspectif. Plus l'héroïne démêle ses souvenirs, plus le passé s'éclaire, et plus le présent s'autorise un avenir. 

 

POURQUOI "Dix chocolats" ?

Parce que c'est ce qu'il faut, au moins, pour effacer le goût de la merde.

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Retrouvez ici, l'avis des premiers lecteurs:

Abonnez-vous, pour être informé de sa sortie !

Merci !

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L'histoire derrière l'histoire

Le besoin d'écrire cette histoire me vient des tripes. C'est mon enfant intérieur qui me hurlait les mots.

Mais qu'est-ce que c'est, cet enfant intérieur ?

 C’est tout simplement notre « petit nous », l’enfant que nous avons été et qui vit encore en nous.

 

Mon « petit moi » n’a pas été écouté, il a été rabaissé, humilié, brimé. Il n’a pas reçu l’amour qu’il espérait et longtemps il a continué à pleurer à l’intérieur de moi, sans que je le reconnaisse, sans que j’y sois attentive.

Comme je ne l’écoutais pas (pire, je le sermonnais même sans cesse de tant se plaindre), il a crié de plus en plus fort. Il voulait être consolé, rassuré et moi je faisais tout pour l’ignorer, le nier. J’ai continué ainsi longtemps à tout faire pour qu’il se taise. Alors « mon petit moi » a continué à me hanter, comme un fantôme. C’est lui qui, si souvent, laissait la tristesse et le désespoir  m’envahir, lui qui me faisait réagir violemment et de manière irrationnelle, lui encore qui me figeait dans la détresse et la peur.

Malheureusement, plus je l’étouffais, plus je l’ignorais, plus il avait besoin de crier très fort pour se faire entendre.  C’est ce qu’il a fait en m’emportant de plus en plus loin dans la dépression et l’anxiété.

 Il a fallu que je sois hospitalisée en psychiatrie pour que j’accepte de l’écouter.

J’ai écrit «  DIX CHOCOLATS » pour lui donner enfin la parole qu'il mérite.

LE site où trouver des concours de nouvelles

Mettre en page son manuscrit le tapuscrit de son roman en suivant les contraintes des différentes Maisons d'Edition, le photocopier et le relier pour l'envoyer.
Envoyer son manuscrit de roman aux maisons d'éditions par la poste. 1kg de papier ça coûte cher.

 

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Je me souviens de ma première journée d'écriture. J'ai emmené ma fille à l'école maternelle, je suis rentrée, je me suis préparé un grand café et j'ai ouvert une page Word sur mon ordinateur.

Je l'ai nommé: "Pleure, tu pisseras moins".

Je n'avais aucune histoire précise en tête, je savais juste que j'écrirais sur mon père. C'est d'une banalité déconcertante, cependant, je sais que depuis toujours, il prend toute la place, beaucoup trop de place.

J'ai donc commencé à écrire, et je l'ai tué dès la première page, pour en finir...

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Ce jour-là, j'ai oublié d'aller rechercher ma fille à l'école et en fin de journée je me suis rendu compte que j'avais aussi oublié de manger. Ma concentration est maximale ...(je me mets une alarme chaque jour à 16h30 pour ne pas zapper l'école) et ma productivité massive...

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Aucun syndrome de la page blanche, en cinq mois le manuscrit est achevé dans ses grandes lignes. Les mots se sont déversés, comme s'ils étaient en attente d'une ouverture de vanne depuis des années. Je crois qu'on appelle ça "vider son sac" ?

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Reste à trier, organiser, structurer, relire mille fois, retravailler chaque chapitre un à un, effacer, réécrire, réorganiser...

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Je décide de laisser ce texte de 75 000 mots se reposer. Je n'ouvre plus ce fichier de tout l'été. Je pars en vacances avec ma petite famille.

Nous installons notre tente près du lac de Serre-Ponçon. A l'occasion d'une via-ferrata, le guide qui nous emmène, mon fils et moi, me parle littérature. C'est un passionné. Nous échangeons notamment sur Murakami car, drôle de hasard, il lit 1Q84 en ce moment, comme moi. Au fil de l'ascension et de nos échanges sur nos lectures, il me demande ce que je fais dans la vie.

Habituellement je réponds en toute honnêteté que je suis éducatrice de jeunes enfants, et j'omets toujours de parler de cette pause en cours, pour écrire. Mais ce jour-là, je me sens en confiance (ce qui est une bonne nouvelle quand on est suspendu à plus de 1800 mètres). Il est sympa ce type avec sa gueule de vieux routard amoureux des livres, alors je lui dis que je suis au beau milieu d'une année sabbatique consacrée à l'écriture d'un roman. Forcément, il me pose LA fameuse question à laquelle je n'arrive toujours pas à répondre : de quoi ça parle?

J'écris un livre dont je suis incapable de parler (ça promet d'être sympa la promo, si promo il y a). J'ai noyé le malaise dans un mélange de pudeur et de "c'est encore trop tôt pour moi d'en parler". Ouf, ce type est vraiment formidable, il me propose tout simplement de lui envoyer mon manuscrit si un jour son avis de livrophage m'intéresse.

Ecrire un premier roman c'est découvrir sa propre manière d'écrire. J'ai découvert que je n'arrivais pas à suivre un plan, que c'était l'écriture qui m'emmenait et parfois dans des recoins insoupçonnés.  J'ai découvert aussi j'avais besoin d'un ordinateur, que j'étais incapable d'écrire manuellement.
via-ferrata Les Orres - Hautes-Alpes. Guide de haute montagne JJJ

A la rentrée, je relis l'ensemble d'une traite. Le recul m'a fait du bien, des incohérences, des répétitions, des manques et de nombreuses fautes me sautent aux yeux. Il m'arrive d'être fière de ce texte, et puis de le détester, de le trouver insipide et prétentieux.

Et si j'écrivais de la merde...

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MOMENT DECISIF : je ravale ma timidité et je demande à quelques amis de lire mon manuscrit.

Jamais je n'aurais imaginé ressentir une telle trouille ! Quelle horreur ! J'ai détesté ce double sentiment de honte et de peur entremêlées. 

Certains retours m'ont littéralement bouleversée par leur enthousiasme et leur émotion tangible, certains silences m'ont laissé croire que ce n'était pas très bon.

 

Quelques prix ont parallèlement récompensé certains chapitres transformés en nouvelles à l'occasion de concours littéraires, et j'avoue que cet ensemble majoritairement valorisant a permis à ma légitimité de s'affranchir un peu. Disons que mon sentiment d'imposture s'est fait gentiment ramollir la tronche… pour un temps tout au moins.

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Les cinq mois suivants ont entièrement été occupés par les relectures, les corrections et les réorganisations de chapitres. Je me suis aussi dégoté un logiciel de correction "Antidote" qui m'a permis de supprimer les coquilles, les erreurs de double-espaces et d'harmoniser ma mise en page.

En janvier 2022, je m'inscris sur des sites de bêta-lecture afin de confronter mon texte à des lecteurs inconnus, et donc moins indulgents et sympathiques que mes amis. Je récolte peu de volontaires, mais les trois ou quatre personnes qui ont joué le jeu l'ont fait très sérieusement. Leurs critiques étaient pour beaucoup très pertinentes.

Parallèlement, je commence à lister les maisons d'édition susceptibles de pouvoir recevoir mon texte, et pour cela je me dois de lui attribuer une étiquette, une "catégorie", bref un genre.

Nous n'avons clairement pas affaire à un polar, ni à de la SF, mais entre "récit de vie" et "littérature blanche" mon cœur ne balance pas, il ment. Je décide éhontément de fuir la case "témoignage" ou "histoires vraies" afin de forcer le passage du roman contemporain via la baguette magique ultra pratique de "l'autofiction".

Eplucher les catalogues des nombreuses maisons d'éditions publiant de la littérature blanche est un travail colossal. Mon petit fichier Excel grandit et s'étoffe, doucement mais sûrement.

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Je découvre à cette occasion que mon titre "Pleure, tu pisseras moins" existe déjà.

QUELLE HORREUR ! IL ME FAUT UN NOUVEAU TITRE !!!

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Brainstorming :

"Sois sage et tais-toi", "En rire", "C'est pour ton bien" (merde il est déjà pris aussi celui-là, par Alice Miller en plus, la classe !), "Ça n’a jamais tué personne", "Mille et un chocolats", "Bourdieu est un con", "Les sables émouvants" (Déjà pris aussi… Grrrrr…), "Mes pieds d’argiles"... pfft ces titres ne sont vraiment pas terribles.

 

Le 27 janvier 2022 avec 84 895 mots - 504 840 caractères espaces compris - mon manuscrit "Dix chocolats" est officiellement achevé.

Le livre d'Alice Miller "C'est pour ton bien"

Le 22 février 2022, j'envoie mon manuscrit à 60 maisons d’édition qui acceptent de recevoir une version numérique.

Auparavant je me suis prise la tête avec deux exercices bien difficiles :

- Ecrire le synopsis de mon roman

et :

- Rédiger une belle lettre d'intention.

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C'est le temps des photocopies.

Non seulement la plupart des maisons d'édition exigent un envoi papier mais leurs critères de mise en page (police 12, marge 2, interlignes 1,5, impression uniquement en recto… ) transforment mon manuscrit en un pavé de 300 pages. Soit plus d'un kilo de papier à expédier par la poste. 

Mes 30 envois papier m'ont donc coûté 425€ (timbres + reliure grosses spirales + enveloppes). Heureusement, un ami mécène m'a offert les 900 photocopies.

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Et puis j'ai attendu... attendu... attendu...

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Les refus sont arrivés, par-ci par-là, doucement, régulièrement, par mail, par courrier. J'ai détesté les lettres types "malgré la qualité de votre texte... blablabla... celui-ci ne répond pas à notre ligne éditoriale... blablabla" mais les vrais courriers argumentés et les critiques constructives m'ont un peu remonté le moral.

Quand on sent que le gars a fait l'effort d'ouvrir l'enveloppe et de lire ce qu'on lui a envoyé, son refus fait quand même plaisir !

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Mettre en page son tapuscrit en suivre les exigences des Maisons d'Edition. Imprimer, photocopier, relier.
Frais postaux pour envoyer son manuscrit aux maisons d'édition. Plus d'un kilo l'envoi, ça pique !

En mai, frisson d'espoir... une petite maison belge fort sympathique, me demande une version numérique de mon manuscrit. Celui-ci ayant plu à la secrétaire de direction, mon texte va être diffusé à l'ensemble du comité de lecture.

Youhoo !!!!

Je n'ai jamais eu d'autres nouvelles, malgré mes relances...

Flop ! Flop! Flop!

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Le 25 juin, je reçois un mail d'une toute petite et toute neuve maison d'édition parisienne, pour convenir d'un rendez-vous téléphonique.

Mon cœur palpite, il s'emballe ! Putain d'adrénaline !  

Nous fixons un rendez-vous pour le soir même.

L'éditeur me parle de mon texte avec beaucoup d'enthousiasme, il me pose énormément de questions personnelles, sur ma situation familiale, sur mes projets professionnels. Il me fait des compliments sur mon style, sur l'histoire, sur le sujet difficile. J'ai beaucoup de mal à gérer mon trouble, mes peurs (d'être stupide, de décevoir, de dire n'importe quoi, de lui faire regretter son choix !) Putain de manque de confiance !!!!

Nous échangeons pendant plus d'une demi-heure et il me dit qu'il va me rappeler d'ici deux ou trois jours pour "fixer les choses".

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J'ai envie de crier ma joie, d'appeler tous mes amis, d'annoncer la bonne nouvelle à tous les gens que je croise. Mais je suis une fille raisonnable et prudente, (si! si !) tant que rien n'est fait (c'est à dire signé) ne nous emballons pas! 

MAIS J'AI TROP ENVIE DE M'EMBALLER !!!!!!!!

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Le coup de fil suivant est très encourageant. Il me parle de photo à lui envoyer pour la communication, de contrat que je devrais recevoir par mail dès demain, de calendrier qu'il a bousculé pour que mon livre puisse paraître à la rentrée littéraire de janvier.

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Il me fait rêver.

J'ai vraiment envie d'y croire... alors depuis deux jours je potasse les contrats types, je surfe sur les forums où des auteurs partagent leurs expériences, soulignent les pièges à éviter, les éléments négociables, les normes pour un primo-romancier. Bref, je m'informe.

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Je reçois une proposition de contrat quelques jours plus tard.

Dans les grandes lignes, il s'agit d'un contrat assez classique, mais plusieurs clauses restent obscures, voire abusives (ce n'est pas moi qui le dit, c'est la société des gens de lettres qui propose un contrat d'édition commenté "réglo", très bien fait).

Je rédige un long mail (beaucoup trop long avec le recul) qui pointe mes questionnements quant à :

- la cession de mes droits à perpétuité (5 ans renouvelables si tout se passe bien, c'est mieux non ?)

- La cession de mes droits à perpétuité et dans les mêmes conditions, pour tous mes autres livres à venir (pouvoir négocier un nouveau contrat pour chaque nouveau livre, c'est un minimum ou je suis trop exigeante ?).

- La faible description des engagements de l'éditeur quant à son obligation de promouvoir le livre (c'est compliqué de s'engager à perpétuité et pour l'ensemble de ses livres avec une maison d'édition qui semble pouvoir laisser ce livre dans un tiroir si ça lui chante).

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L'éditeur a très très très mal pris mon mail.

Je savais que la relation Editeur/Auteur était fortement déséquilibrée, mais quand on m'écrit "proposition de contrat" dans l'objet d'un mail, moi, naïve, je comprends qu'une "proposition" se questionne, se négocie (au moins un peu) bref je comprends "on peut discuter". 

Je me suis fait virer.

Violemment virer, sans sommation.

Fin de la communication.

Oh putain ! Ca ne rigole pas, quand même !

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J'ai eu le temps de ressasser cette fâcheuse expérience, et je n'arrive toujours pas à déterminer si c'est moi qui ait été naïve, exigeante, maladroite, ou si c'est lui qui était franchement soupe-au-lait ou/et mal-attentionné.

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Un petit goût amer persiste, depuis...

Un acte manqué... ou un putain de bon flair ! Aucune idée !

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"Sans réponse de notre part dans un délais de 6 mois, veuillez considérer que nous ne publierons pas votre manuscrit"

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Les six mois sont passés, mon attente peut prendre fin. C'est officiel: "Dix CHOCOLATS" n'a pas trouvé d'éditeur.

Rien d'anormal pour une bouteille à la mer.

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C'est la rentrée. Je reprends le boulot. Fin de l'aventure.

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Ne plus écrire me manque... je ressens comme un grand vide... un vide immense un peu déprimant... j'aimerais tant passer ma vie à écrire... et en vivre.

Bon "Arrête de rêver ma p'tite ! Faut payer son loyer il parait ! 

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Contrat d'édition commenté - SDGL
Cliquez ci-dessous pour télécharger le document

 Je n'arrive pas vraiment à passer à autre chose. Pour être honnête, laisser ce manuscrit dans un tiroir me laisse un goût d'inachevé.

 

C'est décidé !

Je me lance dans l'aventure de l'autoédition !

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Le 12 janvier 2023, j'envois mon manuscrit à l'Association Plumes à Connaitre (l'APAC) qui organise le Prix Thérèse Gabriel. La récompense est un chèque de 3000€ pour aider l'autoédition d'un tapuscrit.

Voilà qui serait parfait :D

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Editer un roman ne coûte rien en soit, de nombreuses plateformes proposent des services à la carte, payants, mais le service minimum : impression à la demande et/ou ebook permet de n'avancer aucun frais. La plateforme prélève uniquement une petite commission très raisonnable sur les ventes.

Par contre, vendre des livres, être présents sur les réseaux, communiquer massivement nécessite un important investissement temps et/ou financier. La diffusion et la distribution d'un livre sont des métiers.

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J'ai étudié les offres de:

 

Les services très complets et détaillés de Librinova retiennent mon attention.

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Parallèlement je potasse mon plan de communication :

  • création d'un site internet avec recherche d'un hébergeur,

  • rédaction d'un communiqué de presse.

  • mailing de contacts

  • familiarisation avec le monde inconnu des réseaux sociaux : LinkedIn, Pinterest, Instagram.... mon ado de fils me propose même de me faire une vidéo Tik-Tok ! Bon, je le remercie mais là, je ne suis pas du tout prête. Une petite page Facebook, déjà, ce serait pas mal ! 

 

Je n'ai vraiment pas envie de publier mon livre sur Amazon, mais l'interface KDP a l'avantage de proposer un outil gratuit pour "tester" le formatage d'une maquette et d'une couverture. Je tente des images de chocolats, une couverture sobre sans image, une photo d'hôpital psychiatrique, une photo d'enfance...

Cela permet de me projeter très concrètement et de solliciter l'avis de mes amis.

 

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Couverture à éviter pour le roman DIX CHOCOLATS

Quand une pote me dit que ça fait "Livre de cuisine", je décide immédiatement d'abandonner cette idée de chocolats.

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portrait de Karine DERAEDT enfant, l'auteure de Dix Chocolats

Je pense plutôt me diriger vers des photos de ma trogne, avec un faible pour ces deux-là :

portrait de Karine DERAEDT enfant - clown triste

ESPOIR ! ESPOIR ! Dans ce mail du 4 mars

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Nous avons le plaisir de vous informer que votre tapuscrit « DIX CHOCOLATS » a été retenu par le Jury n° 1 pour faire partie de la sélection des 6 ouvrages à transmettre au final pour le Prix Thérèse Gabriel.

 

Le Jury Final est composé de 9 membres : 3 libraires, 3 journalistes, 3 auteurs auto-édités.

 

Nous vous remercions de bien vouloir nous transmettre votre tapuscrit complet en 9 exemplaires pour envoi au Jury Final

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Allo ! Mon mécène des photocopies ? J'ai besoin de 9 fois 330 copies !!!!!!!!    Merci mon ami !

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STOP ! J'arrête tout ! Plus de test de communication en ligne, plus de familiarisation avec les réseaux ! Plus de maquette diffusée pour avis ! Mise en Off du site internet en construction !

Pour prétendre au Prix Thérese Gabriel, le tapuscrit doit être inédit ! Ne jamais avoir été publié ! L'interprétation est délicate ! Ne prenons aucun risque.

Patience ! patience ! Il faut attendre les résultats.

1 chance sur 6, la probabilité laisse une part honorable à l'espoir !

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Le 27 mai : coup de fil surréaliste ! JE SUIS LA LAUREATE !!!!!!!!!!!!

Samedi 24 juin - Remise officielle à Metz

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Karine DERAEDT reçoit le prix Thérèse Gabriel pour son manuscrit "Dix chocolats" de la part de l'association Plume à Connaître et de la Fondation de France, le 24 juin à Metz

Je décide de confier à LIBRINOVA une partie de mes 3000€ de récompense. J'achète le pack Prestige à 995€ qui comprend:

  • L'attribution d'un ISBN (vous savez le petit code-barre à l'arrière des livres?)

  • La création du livre numérique et sa mise en vente dans toutes les librairies (dont Amazon, Cultura, Fnac, Kobo, Apple) en ligne,

  • La mise en page du livre imprimé : conception de la maquette intérieure et couverture à plat,

  • La mise en vente de votre livre broché sur les sites de Librinova, Amazon.fr et Fnac.com, et dans 5 000 librairies en France Métropolitaine (bases Dilicom et Electre incluses),

  • La rédaction du résumé de la quatrième de couverture,

  • La conception de la couverture de votre livre par un graphiste, incluant une recherche iconographique et l’achat d’image,

  • La mise en avant de votre livre sur la plateforme NetGalley, leader mondial de la mise en relation entre éditeurs et influenceurs littéraires,

  • L’affichage d’une bannière aux couleurs de votre livre pendant une semaine sur la librairie en ligne de Librinova.com, visitée plus de 50.000 fois par mois,

  • L’impression de 2 exemplaires  envoyé à domicile ,

  • La soumission de votre manuscrit aux 100 maisons d'édition partenaires 

  • Le suivi quotidien des ventes pendant 6 mois,

  • Le suivi quotidien des notes et commentaires déposés par vos lecteurs pendant 6 mois,

  • L’intégration au Programme Agent littéraire (c'est à dire qu'un agent s'occupera de me chercher un éditeur si j'arrive à vendre 1000 exemplaires en une année)

  • La participation au Prix des étoiles et la lecture du livre par notre comité de lecteur

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Avec tout cela, je me sens armée pour produire un livre de qualité.

La mise en page de la maquette se finalise rapidement.

Et très vite l'infographiste me propose plusieurs visuels pour ma couverture. C'est très grisant !

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Proposition de couverture du graphiste Librinova
Proposition de couverture du graphiste Librinova
Proposition de couverture du graphiste Librinova

Ces deux-là ont ma préférence. Mais la verte n'est-elle pas trop triste? Trop sombre?
L'autre est très belle, mais le lien avec mon écrit ne se fait pas spontanément.
Le doute persiste, ma bouille de clown revient à la charge.

Proposition de couverture du graphiste Librinova
Proposition de couverture du graphiste Librinova
Création de couverture pour DIX CHOCOLATS

Je tente même ce mixage très déroutant.

Dans l'indécision totale, incapable de trancher, j'ai l'idée géniale (si! si!) de consulter des groupes de lecteurs sur Facebook.

Qui mieux que des personnes passionnées de littérature, qui passent leur temps à choisir des livres, pour statuer sur la couverture la plus attirante, la plus "vendeuse" ?

J'ai publié ces couvertures sur 3 groupes, j'ai obtenu à peu près 600 votes (ENORME non ????) et le résultat est bluffant de radicalité:

80% des lecteurs préfèrent le portrait noir et vert ! C'est sans appel !!!

Ce sondage m'a pemis aussi d'apprendre une chose incroyable: de très nombreuses personnes ont une peur terrible des clowns. Utiliser ma bouille grimée engendrera indéniablement des rejets automatiques basés uniquement sur cette phobie.

Cela finit de me convaincre.

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Ma couverture est choisie, mon résumé validé.

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Plat de couverture du roman DIX CHOCOLATS

Je consulte les mêmes groupes de lecteurs si formidables pour choisir ma bannière publicitaire, même si les avis sont beaucoup moins tranchés :

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Karine DERAEDT et son roman DIX CHOCOLATS

"Dix chocolats" est devenu une réalité.

Un livre commandable en librairie.

Un ebook téléchargeable sur les plateformes.

Karine DERAEDT en dédicace de son roman DIX CHOCOLATS

Ma première dédicace...

à suivre... la promo

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